1988-1990
Rockin pop from Orleans, influenced by Pixies and american indie pop with a british singer. Ony one single...
Jeune groupe orléanais sorti de nulle part, seul le batteur
s'était déjà fait remarquer quelques années auparavant avec un groupe punk
prépubère, Infrarouge. The Mobile Hoovers s'impose comme un des meilleurs
combos de la ville en quelques premières parties (La Souris Déglingués,
Fleshtones ou Noir Désir avec qui ils sympathisent). Se produisant tout d'abord sous le patronyme de
Joe Fridge & The Mobile Hoovers (soit Joe Frigo et les Aspirateurs), ils
abandonnent assez vite la première partie du nom pour un plus sobre The Mobile
Hoovers. La référence commune des 4 garçons est Clash, plutôt pour l'attitude
que pour la musique comme le déclare Hervé, guitariste du groupe, à Abus
Dangereux : "Les Clash sont un modèle pour nous, même si cela ne s'entend pas.
Il y a une démarche similaire. on voit trop de groupes où des musiciens jouent
dans leur coin. c'est vraiment désagréable !" Leur démo arrive aux oreilles
de GMG qui leur propose de distribuer un 45 tours qui sort en 89 avec deux
titres : "Urban Cowboys", jolie balade avec sa guitare sèche et son
harmonica et "Lizards" plus enlevé et électrique, évoquant les
chevauchées sauvages d'un Jeffrey Lee Pierce. Les compositions sont
prometteuses et le chant en anglais parfait, et pour cause, le chanteur
guitariste, Jake Bailey est anglais, né à Londres , où il a vécu jusqu'à neuf
ans, ça aide!
Manque de chance pour les Mobile Hoovers, GMG met la clé sous la
porte juste avant la sortie du single qui sera mal distribué. En 90, le groupe
enregistre une nouvelle démo 3 titres dans les studios de radio France Orleans,
dont un des titres, "Ghost of Marston Moor", traitant d'une célèbre
bataille écossaise sous Cromwell, se retrouve sur un 45T distribué avec la face
O du zine Abus Dangereux et plus tard sur un CD compilation des nouveaux
talents édité par la Fnac. A la même époque, les Mobile Hoovers parlent d'un 6
titres à venir mais on perd définitivement leur trace à la fin 90. Un ancien
bassiste des Mobile Hoovers, Richard Minier,
se retrouve dans Sherpas puis dans divers projets plus électros.
ripped from my own collection
RépondreSupprimerhttp://www75.zippyshare.com/v/kNCQzxbb/file.html
cool, Rems
RépondreSupprimerMerci
RépondreSupprimerMerci
RépondreSupprimerExcellent blog! J'espere que tu va continuer.
RépondreSupprimerIl faudrait bien sur ajouter les DESAXES vu le titre :)
Mais aussi SNIPERS, CALAMITES...
En tout cas merci encore, beaucoup de decouvertes.